Juste pour en être sur...

Des ténèbres sans fins. L’homme au bras bionique est plongé dans le noir le plus total, même un chat ni verrait rien. Soudain, une petite lueur, lointaine, presque invisible. Puis une deuxième qui va de concert avec sa sœur jumelle. Elles semblent danser comme deux feux follets. Au bout d’un moment de ce remue ménage féérique, les deux lueurs s’arrêtes, fixant le géant toujours incapable de bouger.

Le moment semble être une éternité avant d’être rompus pas un doux rire venu tout droit de la voix d’un ange, un rire d’enfant, joyeux et plain de vie. Les lumières se mettent alors à filer, tournant autour de Tom, de plus en plus vite, formant bien tôt deux longs tubes de lumière. Toujours plus vite, créant une spirale qui entraine l’homme dans le fond d’un abysse de lumière jaune.

Réveille paisible sur un tapis de sable. Le vent semble s’être arrêter, il ne semble même jamais avoir existé dans cette dimension surréaliste. Tout es plat, lisse, juste des empreintes de pas, de touts petits pieds on laisser leurs marques, visible et si bien marqué qu’elles semblent avoir été dessiné d’une main de maitre. Les pas se dirige dans la même direction que Gavroche qui sans s’en rendre compte, c’est mit à marcher.

Face à lui, une ville se dessine, une ville futuriste tout en métal et en verre, mais elle semble abandonnée, vide de toute vie, de toute espoir. Bien que désert, elle est propre, mieux lavé qu’une clinique, pas un seul grain de poussière, pas un seul objet, rien, absolument rien.

Au milieu de cette ville, toujours guidée par ses empreintes de pas, se trouve une jolie maison de campagne entourée de gratte-ciels de métal brillant. Une douce chaleur en émane tel un gâteau sortant du four sur une plaque de glace. Une large façade illuminée de nombreuses fenêtres où se reflète un chaud soleil d’été.

La porte s’ouvre pour accueillir Tom, toujours entrainer par on ne sait qu’elle mystère. L’intérieur est sombre, la lumière ne semble pénètre. Aucune ouverture sur l’extérieur, même la porte s’est refermée sur ses pas. Le sol est en terre, de la terre fraichement remuée. Une pierre tombale au centre de cette pièce qui ressemble de plus en plus à un vieux cimetière. L’épitaphe dit : Ici git Camille fille aimée, pleurée et oubliée.

Poussé par une pulsion de désespoir, Gavroche retourne la terre, voulant exhumée sa fille bien aimée. Une main vient l’arrêter, sortie de la terre, une main aussi pâle que la neige et aussi chaude que la lave l’agrippe et l’entraine dans une fange, l’homme au bras métallique ne voit plus rien, enterré vivant par cette être étrange.

Il sombre jusqu’à une jolie petite chambre d’enfant, il la reconnaît, c’est celle de Camille, tout es là, même… Hélas non, la fille, la femme qui se trouve sur le lit de la gamine est une jolie demoiselle blanchâtre fermant les yeux. Elle est assise sagement, vêtue d’un corset, d’une culotte et de hauts bas. Elle semble l’attendre depuis longtemps.

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Tom s’en approche, doucement, il reconnaissait cette femme, mais il n’arrivait pas à retomber sur son nom. Arrivée près de son visage la blafarde ouvre ses yeux dénuées de pupilles et brillant d’une lueur blanche malsaine.

- Je t’aime Papa


Elle attrapa le visage de Gavroche avant de l’embrasser langoureusement, il était bloqué obligé de rendre se baiser qu’il trouvait divin. Sans s’en rendre compte il était en traine de lui faire l’amour, il l’avait pénétrer et déjà son bassin faisait des mouvements de vas et vient de plus en plus rapide laissant monter un plaisir bestiale mais proche de l’extase.

- Hooo oui, plus fort papa !

La voix de femme sonnait comme la voix qu’une enfant de 10 ans et elle résonnât dans la tête de Tom tandis qu’il se réveilla en sursaut dans sa tente.